Baromètre du numérique - Edition 2025

Ce document présente les résultats du baromètre du numérique mené à la demande de l’Arcep, de l’Arcom, du CGE et de l’ANCT.

Les résultats s’appuient sur une enquête menée auprès de 4 066 personnes, grâce à différents échantillons et modes de recueil qui ont été assemblés afin de fournir une représentation de la société française de 12 ans et plus. L’enquête s’est déroulée du 5 juillet 2024 au 6 août 2024 (voir l’annexe méthodologique pour plus de détails). 

Ces résultats sont présentés en cinq parties : 

La première partie traite des équipements numériques : téléphonie, internet, objets connectés. Quel est le niveau d’équipement de la population, qui est internaute ou ne l’est pas ? Quelles sont les caractéristiques et la fréquence d’utilisation de ces équipements ? Quelle est la proportion de personnes disposant d’un smartphone qui peut permettre d’accéder à la 5G, ou encore, combien d’internautes ont accès à un espace de stockage dans le cloud ? 

 La deuxième partie s’intéresse aux usages d’internet. Les usages émergents, comme le recours à l’intelligence artificielle dans le cadre de son emploi/études ou de sa vie personnelle y sont traités. Il est ensuite question de la place prise par internet dans sa vie (temps passé devant les écrans pour son usage personnel…) puis des usages phares d’internet (messageries instantanées sur téléphone mobile, achat, recherche de logement ou d’itinéraires, e-administration, recherche d’emploi, réseaux sociaux et internet comme outil de sociabilité …) et des usages en repli (nouvelles rencontres, lecture numérique). Deux domaines sont étudiés plus avant : les réseaux sociaux et les achats, sous l’angle notamment de l’arbitrage entre monde réel et virtuel. 

La troisième partie s’intéresse aux usages et pratiques des grands médias que sont la radio et la télévision : comment la numérisation des usages impacte-t-elle la consommation de programmes radiophoniques et télévisuels ? Sur quels équipements les programmes sont-ils suivis ? Quelles sont les raisons qui expliquent le basculement vers le numérique ? Dans ce cas, la préférence est-elle donnée au direct ou au différé ? … 

La quatrième partie traite de l’empreinte environnementale du numérique : combien d’équipements numériques sont détenus par les foyers ? L’achat d’occasion ou reconditionné devient-il une pratique qui se généralise ? La durée d’usage des smartphones a-t-elle diminué ? Que deviennent les équipements numériques lorsqu’ils cessent d’être utilisés ? Les utilisateurs des réseaux fixes et mobiles connaissent-ils les informations mises à disposition par les opérateurs sur l’empreinte carbone de leurs usages sur les réseaux ? Ces informations les incitent-ils à réduire leurs usages ? etc. 

La cinquième et dernière partie est consacrée aux freins et aux limites perçus à l’usage d’internet et du numérique. Quels sont les principaux freins ? Un accompagnement au numérique pourrait-il les lever ?

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